Références

  • Titre : La défaite du clan Chiba (1455) et son influence sur l’école Katori-shinto-ryu
  • Auteur : katori-ressources

Catégorie : article de Katori-ressources

La défaite du clan Chiba (1455) et son influence sur l'école Katori-shinto-ryu

D’après les données bibliographiques, Iizasa Chōisai Ienao (1387-1488) est née dans le village d’Iizasa situé dans la province de Shimōsa. En tant que guerrier, celui-ci était entré au service des puissants seigneurs du clan Chiba qui occupaient le poste de gouverneur de la province de Shimōsa. Il semble également que son habilité au combat lui valut d’avoir occupé un certain temps être le rang de maître d’armes du shogun Ashikaga Yoshimasa (1449 – 1474) dont la résidence se trouvait à Kyōto. De par sa position particulière au service des Chiba et du shogun, Iizasa Chōisai Ienao a dû participer aux troubles politiques qui secouèrent la région du Kantō entre 1415 et 1455 et qui entraînèrent la défaite du clan Chiba. Même si il est difficile d’évaluer son rôle exact dans les différents conflits armés, il apparaît que la chute du clan Chiba en 1455 entraîna chez lui un profond bouleversement spirituel. En effet, c’est après cet évènement que le maître se retira des affaires du monde pour s’imposer une période d’entraînements martiaux et spirituels intensifs à la suite de laquelle il fonda l’école Tenshin shoden Katori shintō. Ainsi, la chute des Chiba en 1455 fut un tournant fondamental dans la vie du fondateur. Il nous a semblé intéressant de revenir sur le contexte historique de cet événement et de tenter d’en mesurer la portée sur certains aspects de l’enseignement de l’école Katori shintō.

1. L’administration de la région du Kantō

Carte du Kamakura-fu
Figure 1. Carte du Kamakura-fu

Au cours de la première moitié de la période Muromachi (1333-1573), la région du Kantō constituait le territoire principal d’un gouvernement régional dont le siège se situait à Kamakura nommé le Kamakura-fu (« gouvernement de Kamakura ») ou Kantō-fu (« gouvernement de Kantō »). Il fut créé en 1349 par le shogun Ashikaga Yoshiakira qui plaça à la tête du gouvernement un membre de sa famille qui porta alors le titre de Kantō kubō (ou Kamakura kubō) assisté par un adjoint principal, le Kantō kanrei, issu du clan Uesugi. Le kubō exerce son autorité sur un territoire constitué principalement des huit provinces de la région du Kantō (Hasshū / 八州) à savoir Sagami, Musashi, Awa, Kazusa, Shimōsa, Hitachi, Kozuke, Shimotsuke auxquelles s’ajoutent les provinces de Kai et Izu (voir Figure 1). À la tête de chaque province se trouve un gouverneur portant le titre de shugo (守護)1. La province de Shimōsa – dont le sanctuaire principal (ichi-no-miya /一の宮) était le Katori-jingū – était dirigée par des gouverneurs issus du clan Chiba (Chiba-shi /千葉氏). L’origine du clan Chiba remonte à la fin du XIe siècle quand Taira Tsuneshige (1083-1180), l’un des seigneurs du clan Taira dont les membres descendent de l’empereur Kanmu (737-806), s’installa dans la ville de Chiba, situé dans le Kantō, et prit le nom de Chiba Tsuneshige. Il y fonda le château d’Inohana ; c’est cependant son fils Chiba Tsunetane (1118-1201) qui est considéré comme le véritable fondateur du clan Chiba (Chiba-no-suke) (voir Figures 2 et 3)2. Lors de la période Kamakura (1185–1333), le chef de la famille Chiba porta de manière héréditaire le titre de gouverneur (shugo) de la province de Shimōsa. Au cours du XVe siècle, les membres du clan Chiba participèrent directement aux violents conflits qui éclatèrent entre le Kantō kubō, le Kantō kanrei et le shogun.

2. La révolte des vassaux et la fin du Kamakura-fu (1415-1439)

Le caractère violent et intransigeant du Kantō kubō Ashikaga Mochiuji (1409-1439) provoqua un profond mécontentement parmi ses vassaux. En 1415, le Kantō kanrei Uesugi Ujinori (connu sous le nom bouddhiste de Zenshū) prit alors la tête des révoltés parmi lesquels se trouvaient Chiba Kanetane, Utsunomiya Mochitsuna, Oda Mochiie, Nagao Ujiharu, Miura Takaaki, Takeda Nobumitsu, etc., ainsi que des samouraïs locaux. Soulignons que Chiba Kanetane (1426 – 1430), alors 14e chef du clan Chiba, avait pris pour épouse la fille d’Uesugi Zenshū. Les alliés d’Uesugi s’emparèrent de Kamakura obligeant Ashikaga Mochiuji à fuir. Le shogun Ashikaga Yoshimochi (1395-1423) envoya alors une armée pour prendre la défense du clan Ashikaga. Uesugi Zenshū fut acculé par les soldats du shogun et se suicida dans le sanctuaire de Tsurugaoka Hachiman-gū à Kamakura en 1417. Cependant, l’opposition envers Ashikaga Mochiuji – qui menait alors une politique de vengeance – resta vive suscitant l’inquiétude du shogunat. En 1438, Ashikaga Mochiuji se révolta directement contre le shogun Ashikaga Yoshinori (1429-1441). Cet épisode nommé « la rebellion d’Eikyō (Eikyō-no-ran) » se solda par la victoire de l’armée shogunale et par le suicide d’Ashikaga Mochiuji dans le temple de Yoan-jien en 1439 (voir Figure 4). L’institution du Kamakura-fu prit alors fin avec lui.

Détail du Yūki Kassen Ekotoba (XVe siècle) représentant le suicide d'Ashikaga Mochiuji en 1439
Figure 4. Détail du rouleau dit “Yūki Kassen Ekotoba” (XVe siècle) représentant le suicide d’Ashikaga Mochiuji en 1439.

3. La renaissance du Kamakura-fu et la bataille d’Enoshima (1449-1450)

Ashikaga_Yoshimasa
Fig. 5. Portrait d’Ashikaga Yoshimasa par Tosa Mitsunobu (1434-1535)

Après une période dix ans, de hauts fonctionnaires du shogunat ainsi que d’influents membres du clan Uesugi militèrent pour recréer le Kamakura-fu. En 1449, le shogun Ashikaga Yoshimasa (1449-1473) (Figure 5) nomma Ashikaga Shigeuji, fils de Mochiuji, au poste de Kantō kubō tandis qu’Uesugi Noritada fut nommé à celui de Kantō kanrei. Très vite, une série d’incidents attisa les tensions entre le kubō et son adjoint :
1) Ashikaga Shigeuji s’entoura des enfants des généraux – dont Yanada Mochisuke – qui avaient soutenu son père, Mochiuji, au cours de la guerre qui l’opposa au clan Uesugi et au shogunat.
2) En 1450, le Kubō nomma Yanada Mochisuke à la tête du fief de Nagao (province de Sagami) qui était aux mains du clan de Nagao, vassal des Uesugi, et dont le fief abritait le principal sanctuaire dédié au culte des ancêtres du clan.
Le 20 avril 1450, Nagao Kagenaka et Ota Sukekiyo (époux de l’une des filles de Kagenaka et vassal des Uesugi) pénétrèrent dans Kamakura avec une armée de 500 cavaliers pour renverser Ashikaga Shigeuji. Averti à temps, le Kubō s’enfuit sur l’île d’Enoshima, au large de Kamakura (voir Figure 6). Il fut alors rejoint par ses vassaux dont Ota Mochiie, Utsunomiya et Chiba Tanemasa. Le soutien du clan Chiba peut paraître ici étonnant car le précédant chef de famille, Chiba Kanetane, avait soutenu Uesugi Zenshū contre Ashikaga Mochiuji, père de Shigeuji. Notons cependant que Chiba Tanemasa assure ici une période de régence car l’héritier légitime du clan Tanenao, le fils de Chiba Kanetane et de la fille de Zenshū, né en 1430, est encore trop jeune pour remplir les fonctions de gouverneur de la province de Shimōsa. Ainsi Chiba Tanemasa représente une partie du clan favorable au Kantō kubō. Les alliés d’Ashikaga Shigeuji réussirent à repousser et à prendre l’avantage sur les assaillants. Nagao Kagenaka et Ota Sukekiyo se réfugièrent alors dans le château de Kasuya (ville de Yakuta, province de Sagami), terre appartenant aux clans Sukekiyo et Uesugi voir Figure 7). Uesugi Noritada fut placé en détention, car ce sont ses vassaux qui tentèrent ce coup d’État. Finalement, le shogunat décida de réinstaller à leur poste respectif Ashikaga Shigeuji et Uesugi Noritada, ce dernier obtient également le pardon pour Nagao Kagenaka et ses alliés. Cependant le Kubō et le Kanrei et leurs samouraïs vassaux ébauchaient de nombreux plans pour s’emparer des territoires rivaux.

4. L’incident de Kyōtoku et la fin définitive du Kamakura-fu (1455)

L’incident de Kyōtoku (Kyōtoku no Ran / 享徳の乱) désigne une longue série de conflits armés pour le contrôle de la région du Kantō entre 1454 et 1482. Au cours de cette période, plusieurs clans perdirent leur influence tel le clan Chiba en 1455.

4.1. La bataille de Bubaigawara (1455)

Géographie de la bataille de Bubaigawara (1455)
Fig. 7. Géographie de la bataille de Bubaigawara (1455)

Le 15 janvier 1455, Uesugi Noritada, alors en résidence à Kamakura reçut l’ordre urgent de se rendre au palais d’Ashikaga Shigeuji. Arrivé sur place, Noritada fut assassiné par les hommes de Shigeuji. Des soldats furent également envoyés massacrer les serviteurs de Noritada dans sa résidence de Kamakura. Nagao Kagenaka et ses hommes arrivèrent alors dans Kamakura pour protéger le reste des membres de la famille et les partisans encore en vie de Noritada et les évacuèrent à Kasuya. Les chefs des différentes branches du clan Uesugi décidèrent de nommer Fusaaki, le frère cadet de Noritada (alors à Kyōto) comme Kantō kanrei et de mener la guerre contre Shigeuji. Les troupes se rassemblèrent dans la province de Kozuke. Pendant ce temps, Ashigaka Shigeuji établit ses quartiers à Fuchuu, dans le temple Kouan-ji (province de Musashi) laissant Takeda Nobunaka protéger Kamakura. Nagao Kaganeka dirigea une armée de 2000 cavaliers vers le temple de Kouan-ji. Shigeuji et ses soldats – en infériorité numérique – se replièrent à Bubaigawara (située sur la rivière Tama) et infligèrent de nombreuses pertes aux avant-gardes de l’armée d’Uesugi. Ayant reçu de nombreux renforts, Ashigaka Shigeuji reprit l’avantage et assiégea le château d’Oguri (province de Hitachi) où s’était réfugié Nagao Kaganeka. Après plusieurs discussions, le shogunat décida d’éliminer Shigeuji et l’ordre en fut donné au clan Uesugi et à différents gouverneurs dont Imamura Noritada (province de Suruga), Ogasawara Mitsuyasu (province de Shinano), Utsunomiya Hitotsuna (province de Shimotsuke) et Chiba Tanenao (province de Shimōsa). Imamura Noritada revint de Kyōto avec la bannière impériale de l’empereur Go-Hanazono (1428-1464) et défit Takeda Nobunaka à Kamakura3.

4.2. La défaite du clan Chiba (1455)

Chiba Tanenao – dont la mère était la fille d’Uesugi Zenshū – avait décidé d’honorer l’ordre du shogun Ashikaga Yoshimasa et de mener la guerre contre le kubō Ashikaga Shigeuji. Cependant, son oncle Makuwari Yasutane (fils de Chiba Matsutane et frère de Chiba Kanetane, père de Chiba Tanenao) insistait au contraire pour soutenir le parti de Shigeuji. Dès lors, Makuwari Yasutane et Hara Tanefusa (seigneur du château d’Usui et vassal du clan Chiba) assiégèrent le château d’Inohana où se trouvaient Chiba Tanenao et son fils Chiba Tanenobu. Chiba Tanenao s’enfuit et trouva refuge dans le château de Shima. Le château de Shima se situe dans la ville de Tako (district de Katori , préfecture de Chiba). Littéralement Shima-jō (島城) signifie le château (城) île (島) car celui a été construit sur un plateau au centre de plaines occupées par des rizières irriguées par la rivière Kuriyama. Le château était donc difficile d’accès car entouré de vastes zones inondées (voir Figure 8)4. Chiba Tanenobu se replia, quant à lui, dans un autre château du village de Tako, simplement connu sous le nom de Tako-jō (多古城)5. Les soldats de Makuwari Yasutane et Hara Tanefusa lancèrent des assauts violents contre les deux châteaux qui furent détruits. Tanenobu fut évacué vers le temple de Tōzen-ji où il se donna la mort le 12 août 1455 à l’âge de 15 ans (voir Figure 9). Tandis que Tanenao se suicida trois jours plus tard, le 15 août 1455 à l’âge de 42 ans6. Sa tombe se situe au sein d’un groupe de pierres tombales dans le cimetière du temple de Tōzen-ji (voir Figures 10a et 10b)7. Malgré les victoires de ses alliés, Ahikaga Shigeuji comprit qu’il ne pourrait pas reprendre Kamakura, il s’installa alors dans le château de Koga, dans la province de Shimōsa et prit le titre de Koga kubō. Il y exerça son pouvoir jusqu’à sa mort en 1497.

5. La défaite du clan Chiba et ses conséquences sur Iizasa Chōisai Ienao

Fig.11. Géographie d'Iizasa
Fig.11. Géographie d’Iizasa

Un mot semble illustré le lien entre Iizasa Chōisai Ienao et les guerres qui dévastèrent une partie du Kantō, c’est celui de proximité. Celle-ci était d’une double nature. Premièrement, il s’agissait d’une proximité d’hommes car Ienao se trouvait au service de plusieurs des acteurs majeurs de ces guerres : le shogun Ashikaga Yoshimasa et le seigneur du clan Chiba, gouverneur de la province de Shimōsa. Deuxièmement, il s’agissait aussi d’une proximité géographique. En effet, les assauts qui entraînèrent la mort de Chiba Tanenao et de Chiba Tanenobu en 1455 ont eu lieu contre des châteaux (Shima-jō et Tako-jō) et un temple (Tōzen-ji) qui se trouvent dans les environs immédiats du village d’Iizasa, lieu de naissance d’Iizasa Chōisai Ienao (Figure 11). Aujourd’hui, ces différentes localités ont été regroupées au sein d’une même commune : la ville de Tako. La tradition de l’école Katori shintō rapporte plusieurs pensées que le fondateur aurait eues après la défaite des Chiba. La première de ces réflexions oppose la force humaine et l’idée de destin :

Bien que je sois invaincu sur le champ de bataille, la maison Chiba fut détruite par le destin. La force humaine ne peut rien y changer”8

Une autre tradition emploie le terme de munashi (空しい), soit “vide”, pour exprimer l’état d’esprit d’Iizasa Chōisai Ienao quand celui-ci pensait à tristesse de la vie menée par les samouraïs au milieu desquels se trouvaient des gens qui avaient perdu leur maison, leur terre et dont de nombreux proches étaient morts. Dès lors, Ienao décida de changer de vie en rompant tout lien de vassalité. Lui-même ne se trouvait plus au service d’un seigneur et il renvoya également les vassaux qui lui étaient attachés. Il décida également qu’aucun de ses descendants n’entrera au service d’un seigneur :

Nul héritier n’entrera au service d’un daimyo, quels que soient les émoluments offerts”9

Maître Otake Risuke explique ainsi cette règle : “Le fondateur interdit aux garçons de servir quand bien même ils ont un bon salaire. Quand ils servent avec le sabre, ils doivent abattre une personne sur ordre du supérieur. Mais, ils n’ont pas le droit de tuer une personne innocente. Ainsi, il est interdit de se mettre au service d’un seigneur car la situation est bloquée entre infidélité et trahison”10. Cette décision de nature politique s’appuyait sur une nouvelle philosophie. Pour Ienao, les arts martiaux devaient prendre une tout autre voie que celle de faire couler le sang. Ainsi, les victimes des affrontements sanglants qui secouèrent le Kantō lui inspirèrent cette pensée :

Le bujutsu n’est pas la guerre par laquelle le sang des uns et des autres est versé”11

Cette nouvelle voie que devaient prendre les arts martiaux devint la philosophie fondamentale qui se trouve au coeur de la nouvelle école fondée par Iizasa Chōsai Ienaō, l’école de Katori shintō. Les détails de cette voie de la paix qui figure inscrite sur les rouleaux de l’école sont attribués à la divinité du sanctuaire de Katori, Futsu-nushi-no-kami :

L’art de la guerre est l’art de la paix. L’importance n’est pas de battre l’ennemi par le combat, mais de triompher sans combattre”12

Sur ce même thème, la tradition de l’école transmet de nombreux autres enseignements tels que ceux rapportés par maître Otake Risuke :

Celui qui domine son ennemi sans le détruire est supérieur à celui qui le terrasse et l’anéantit”

Se maîtriser soi-même représente un bien plus grand exploit que de vaincre un millier d’ennemis”

La victoire par le combat n’est pas la véritable victoire. La véritable victoire est acquise lorsque l’on atteint son but sans l’usage des armes ou de la violence. Ce chemin mène à la véritable paix. En fait, seul ce chemin incarne la Voie de la paix”13

Références

1 Sur l’administration voir : Jansen, Marius, Warrior Rule in Japan. Cambridge University Press, 1995 et Sansom, George Bailey, A History of Japan Vol. 2. Charles E. Tuttle Co, 2000.
2 Les descendants de la famille Chiba tiennent un site internet consacré à l’histoire de leur famille. On trouvera ainsi des biographies très détaillées en japonais des différents chefs de la famille : http://members.jcom.home.ne.jp/bamen/souke.htm
3 Pour plus de détails, voir l’article : The battle of Bubaigawara (traduction anglaise de l’article japonais de wikipedia : Bubaigawara-no-tatakai / Muromachi-jidai)
4 Pour plus d’informations concernant le Château de Shima, voir : http://umoretakojo.jp/Shiro/Kantou/Chiba/Shima/index.htm.
5 Pour plus d’informations concernant le château de Tako, voir : http://umoretakojo.jp/Shiro/Kantou/Chiba/Tako/index.htm.
6 Nous suivons le récit des derniers jours du chef de la famille de Chiba et de son fils tel qu’il apparaît sur le site de la ville de Tako : https://www.town.tako.chiba.jp/midokoro/tiba.html.
7 Sur les tombes familiales du temple de Tozen-ji, voir http://www.town.tako.chiba.jp/midokoro/haka.html.
8 Paroles rapportées par Sugino Yoshio et Ito Kikue, Tenshin Shōden Katōri Shintō Ryu Budō Kyōhan : Die Kampfkunst-Lehrmethode des Tenshin Shoden Katori Shinto Ryu, Books on Demand GMBH, 2010, p.32 [Traduction allemande de l’ouvrage japonais original publié en 1941].
9 Citation extraite d’Otake Risuke, Katori shinto ryu. Héritage et tradition. Le sabre et le divin, Budo Éditions, 2011, p.33.
10 Otake Risuke, « Ma devise préférée écrite sur le shikishi : Le coeur du Tenshinshō est l’art de la paix » publié dans la revue Budō (武道) 11/2006, n°480
11 「武術は互いに血を流す戦さのためではない」Paroles rapportés sur le site officiel de la ville de Tako : https://www.town.tako.chiba.jp/midokoro/tiba.html
12 Sur ce sujet, voir par exemple l’article d’Otake Risuke, « Ma devise préférée écrite sur le shikishi : Le coeur du Tenshinshō est l’art de la paix » publié dans la revue Budō (武道) 11/2006, n°480.
13 Citations extraites d’Otake Risuke, Katori shinto ryu. Héritage et tradition. Le sabre et le divin, Budo Éditions, 2011, p.31, p.55 et p.57.

Laisser un commentaire

Fermer le menu